Jean-Claude Michéa, la crise du capitalisme et la difficulté de la gauche à « percer »…

Michéa : « Jamais les nuisances du système capitaliste n’ont été aussi claires »…et pourtant… (Montpellier Journal)

L’endettement de la France en 1848 vu par Karl Marx (Le philosophe montpelliérain Jean-Claude Michéa exhume un texte de l’intellectuel allemand pour démontrer la pertinence de la critique socialiste du XIXe siècle. Un document d’une certaine actualité.)

Et pourtant le philosophe montpelliérain s’étonne, comme Georges Orwell en 1937, que le socialisme perde « du terrain là où précisément il devrait en gagner ». […]

Sur le conservatisme d’Orwell, le philosophe rappelle que « tous les
historiens des révoltes populaires, au Mexique, au Moyen-âge, etc.
montrent toujours que les révoltes populaires prennent appui sur quelque
chose du passé. »
Et plus près de nous, il cite l’exemple d’une manifestation de paysans contre la loi visant à leur interdire de réensemencer leurs champs avec leur propre récolte. «
Les représentants de la Confédération paysanne parlaient de droit
ancestral et coutumier des paysans depuis le néolithique à disposer
intégralement de leur récolte. »  MICHEA Jean-Claude

L’article de Montpellier Journal

L’endettement de la France en 1848 vu par Karl Marx (Montpellier journal)

A lire aussi

Jean-Claude Michéa avec le MAUSS. Compte-rendu (Revue du Mauss)

Jean-Claude Michéa, L’empire du moindre mal (Revue du Mauss)

Michéa et le libéralisme : hommage critique (Philippe Corcuff)

Photo : Michea.jpg


Partager :
Ensemble 34