Montpellier. Osons la démocratie ! R.D.V. Parc Montcalm Samedi 01 février 14H



Pour la democratie et l’écologie, la liste La gauche, la
vraie !
vous invite à une rencontre

Samedi 01 fevrier 14 h Parc Montcalm Rue des chasseurs, 34070
montpellier


 tractdemocratieFDG.Mtp.jpg  Lire le tract ci-contre en PDF : cliquer sur l’image  ou ici 



Pour la democratie et l’écologie, la liste La gauche, la
Vraie !
 
vous invite à une rencontre

Samedi 01 fevrier 14 h Parc Montcalm Rue des chasseurs, 34070
montpellier

tractFDG.Mtp.Democratie.pdf





OSONS LA DEMOCRATIE

La démocratie n’est pas seulement un mode de désignation des
représentant-es, c’est surtout une manière de vivre ensemble, de décider des
affaires communes, de les mettre en oeuvre.

C’est construire un destin commun, basé sur la solidarité,
l’égalité, la justice sociale, le respect des hommes, des femmes, de la nature,
la coopération, l’ouverture au monde et aux autres cultures.

 

annonce_Montcalm.jpgMontpellier est riche de la vitalité démocratique de ses
habitant-e-s.

Si la démocratie consiste à considérer que les habitant-es de la
ville sont conscient-es, intelligent-es, qu’ils peuvent et veulent changer la
donne, nous pourrions considérer qu’elle est bien vivante à Montpellier !

En témoignent :

– Les rassemblements de citoyen-es voulant préser- ver le Parc
Montcalm ou le stade de l’Abbé Prévost de la spéculation immoblière.

-L’action entreprise par les
habitant-es du Petit Bard, notamment sur le logement.

– La bataille engagée par un collectif d’associations pour que la
gestion de l’eau redevienne publique.

– Les ateliers de réflexion proposés par un collectif de
citoyen-es, pour que la construction de la ville de demain tienne compte des
besoins et propositions des habitant-es.

Etpourtant,ladémocratie
citoyenne active, celle que nous propo- sons ne fonctionne pas à Montpellier et
dans l’Agglomération

.Pourquoi ?

Parce que l’articulation entre la démocratie représentative (les
élus) et la démocratie citoyenne (intégrant la participation des
montpelliérain-es) est quasi inexistante et réduit à peu leurs potentialités
d’intervention.

L’urgence est donc de porter à la responsabilité de nouveaux
élu-es qui acceptent d’être, non pas des représen- tant-es permanent-es usant
de pouvoirs délégués, mais des citoyen-es exerçant une charge temporaire au
service de leurs concitoyen-es, pour favoriserla
capacité de chaque habitant-e à maîtriser l’informa- tion et contribuer à la
délibération.

 

La démocratie, c’est respecter les engagements pris.

Les candidat-es de la liste initiée par le Front de Gauche le
feront. Ils en rendront compte. Ils feront leurs, les urgences démocratiques
que nous avançons.

C’est un impératif du combat qu’il faut mener pour que se
construise un nou- veau visage de la politique de la ville et que la démocratie
cesse d’être confisquée ou anesthésiée.

C’est la créativité populaire qui forgera, demain, Montpellier, et
assurera son renouveau démocratique.

 

 URGENCES DÉMOCRATIQUES

A Montpellier, l’urgence est d’ouvrir des droits et de donner
toute sa place au citoyen dans la politique, comme il faut donner toute leur
place aux travailleur-se-s dans les choix de gestion de l’entreprise.

Un seul et même combat : celui de l’émancipation humaine.

L’urgence est de mettre fin à l’inégalité civique : droit de vote
des étranger-es aux élections locales.

L’urgence est de faire que le débat civique prenne le pas sur le
spectacle, les manifestations médiatiques, les rituels traditionnels.

L’urgence est de promouvoir « l’électeur-trice » «
acteur-trice» plutôt que «spectateur-trice », de faire entrer dans le champ
politique de nouveaux acteur-trices qui interpellent les hiérarchies, les
élu-es, les expert-es, les statuts, les modalités d’élaboration des décisions
et de contrôle du budget.

Imaginons, créons, expérimentons de nouveaux outils, ouverts à
tous, dans la diversité existante : états généraux de la vie associative (en début
de mandat), ateliers d’urbanisme, observatoire des engagements etc…

Changeons les « maisons pour tous » en «maisons du peuple »,
administrées par les habitant-es, sans limitation des genres d’activités,
augmentons leur nombre.

Favorisons l’émergence de comités de quartiers indé- pendants,
dotés de locaux et de moyens (secrétariat).

Développons l’expression dans le journal municipal d’opinions
diverses, en plus de celles des élu-es (associations, syndicats, comités de
quartier, citoyens, comités de luttes…)

Organisons, si besoin, des référendums municipaux sur les grandes
questions : métropole, tarifs moins chers et/ou tendre vers la gratuité des
transports .

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