Une
réunion
nationale d’échange et de formation des collectifs locaux d’audit
citoyen de la dette publique est
organisée. Elle se déroulera la
journée du samedi 14 janvier à
la Bourse du travail, 3, rue du Château d’Eau à Paris (métro
République).En
vue de la préparation de cette journée, les collectifs locaux
peuvent envoyer leurs attentes en termes de contenu, leurs questions
à l’adresse suivante:local@audit-citoyen.org
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Le NPA 34 se penche sur la dette (lu dans Motivées de janvier)
Tract de campagne
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L’audit citoyen de la dette : comment et pourquoi ? (cadtm.org)
La question du remboursement de la dette publique constitue
indéniablement un tabou. Il est présenté par les chefs d’État et de
gouvernement, la Banque centrale européenne (BCE), le Fonds monétaire
international (FMI), la Commission européenne et la presse dominante
comme inévitable, indiscutable, obligatoire. Les citoyens et citoyennes
devraient se résigner au paiement de la dette publique. La seule
discussion possible porte sur la façon de moduler la répartition des
sacrifices nécessaires afin de dégager suffisamment de moyens
budgétaires pour tenir les engagements pris par la nation endettée. Les
gouvernements qui ont emprunté ont été élus démocratiquement, les actes
qu’ils ont posés sont donc légitimes. Il faut payer.L’audit citoyen est un instrument pour lever ce tabou. Il permet à
une proportion croissante de la population de comprendre les tenants et
aboutissants du processus d’endettement d’un pays. Il consiste à
analyser de manière critique la politique d’emprunt menée par les
autorités du pays.L’ensemble de l’article : L’audit citoyen de la dette : comment et pourquoi ? (cadtm.org)
Pour
une mobilisation générale contre la « dette immonde » et les
plans d’austérité !Déclaration
du Bureau fédéral de SUD-PTTjeudi
15 décembre 2011L’Europe
est désormais sous la pression de plans d’austérité qui font
peser sur les populations le fardeau des dettes souveraines, alors
qu’il est clair que la crise actuelle est le résultat de la
domination de l’économie mondiale et des états par les marchés
financiers : ce n’est pas aux populations de payer les frais de la
crise financière ! Des réactions populaires très fortes existent
en Grèce, en Angleterre, en Espagne, en Italie…, mais elles
restent pour l’instant isolées. En France, l’intersyndicale
nationale n’offre pas aujourd’hui de débouché réel aux
mobilisations et, la timidité de la journée du 13 décembre 2011 en
est sans aucun doute le résultat. Plus grave est aujourd’hui la
tentation de confédérations syndicales d’accompagner la rigueur
avec seulement une « autre répartition de l’effort ».S’il
est important de ne pas se couper du cadre unitaire national
inter-syndical, il est décisif de ne pas nous soumettre à son
inertie actuelle. Il faut en effet préparer les conditions pour un
affrontement social majeur contre aujourd’hui le gouvernement
Sarkozy et demain les gouvernements qui choisiraient de se conformer
aux diktats des marchés financiers.Non,
nous n’avons pas à payer la dette. Aujourd’hui la riposte
proposée par les organisations syndicales françaises n’est pas à
la hauteur de la brutalité de la dette et l’austérité imposées
aux populations.L’objectif
décisif d’une grève interprofessionnel n’est pas forcément un
objectif immédiat, ce qui importe, c’est la construction d’un
rapport de force, d’un mouvement qui se voit dans la rue et qui
pèse sur les politiques gouvernementales.Comme
pour la mobilisation contre la réforme des retraites, la bataille de
l’opinion est décisive et nous appelons les équipes syndicales à
relayer les tracts et affiches de l’union Solidaires et à
programmer des moments de débats avec les salarié-es avec un effort
de pédagogie. La fédération proposera dans les semaines qui
viennent, une adaptation pour nos secteurs professionnels.Nous
pouvons nous battre dès maintenant pour construire une convergence
unitaire des luttes contre la « dette immonde » et contre les
politiques d’austérité :
>en nous adressant aux équipes
syndicales locales qui peuvent être en recherche de cadre unitaire
d’action ;
>en impulsant des convergences sociales et/ou
intersyndicales locales en solidarité avec des salariées en lutte,
en mobilisation sur les services publics, le logement, le chômage,
la pauvreté… ;
>en rejoignant les « collectifs contre la
dette » qui sont en développement, et qui regroupent un éventail
significatif d’organisations syndicales, sociales, politiques,
associatives et doivent être un cadre d’agitation sur la question
de la dette, de dénonciation du rôle des marchés financiers, de
contestation de l’austérité ;Il
faut préparer demain les grèves dans le cadre d’un mouvement
national qui cherche à se coordonner au niveau Européen pour
bousculer les politiques décidées par les gouvernements. Nous
devons participer aujourd’hui à la construction d’une
convergence unitaire des luttes, contre la dette immonde et contre
l’austérité, avec l’objectif de manifestations et d’initiatives
régionales et nationales.Emission radio Là-bas si j’y suis (Daniel Mermet) I
Emission radio Là-vas si j’y suis (Daniel Mermet) II
PCF. Sortir de la crise ? « Nous on peut »
Nous ne paierons pas leur dette !
Campagne La dette, pourquoi, pour qui ?
L’Equateur, un exemple à suivre pour les pays européens endettés (Mediapart via CADTM)
Mobilisation contre la dette et les plans d’austérité : reprenons le contrôle !
Collectivités locales. Dette…audit, moratoire, anulation. Engager réflexion et débat pour engager la lutte
Danger, endettement des collectivités locales
Karak dégaine son crayon contre le plan de rigueur et la dette !
Sète-Bassin de Thau : « la dette est plus un choix politique qu’une équation mathématique » !
Clermont l’Hérault. Conférence-débat La dette en question! mercredi 14 décembre…