PS Le jugement de la cour d’appel d’Aix démontre que Christian Bourquin a menti (Montpellier Journal)

[10 décembre : la série “les frêchistes pètent les plombs” continue… l’ex-chef de cabinet de Frêche est venu défendre, hier soir, à la télé, la nécessité du mensonge en politique…au nom de la vérité ! Ils sont décidément de plus en plus félés les frêcholâtres depuis le décès de leur gourou! A lire et émission à visionner ci-dessous.

Elle s’y met aussi : Hélène Mandroux ment sur la ligne 4 de tramway de Montpellier (Montpellier Journal). Mais on ne s’en étonnera pas, elle est aussi une création frêchienne, ingrate bien sûr envers son ex-mentor,, mais quand même, mentir…!]

Celui qui est aujourd’hui président du conseil régional Languedoc-Roussillon a été condamné, le 8 novembre, à 5000 euros d’amende. Montpellier journal publie l’intégralité de la décision de la cour d’appel d’Aix-en-Provence qui démontre, enquête de police à l’appui, que l’élu s’est rendu coupable de complicité de délit de faux et de minoration de comptes de campagne. L’ancien président du conseil général des Pyrénées-orientales a toujours protesté de sa bonne foi. Sauf qu’il a quand même fait rédiger une fausse attestation visant à appuyer sa thèse.


L’article de Montpellier Journal

Sur la pratique du mensonge, on lira les propos de l’ancien chef de cabinet de Frêche tels qu’ils sont rapportés dans le film “Le président” : « Je vais vous dire : il faut mentir, sortir des chiffres avec de l’aplomb. Dire que vous avez fait le double. C’est ça qui compte, c’est essentiel. Essentiel. De toute façon, en période électorale, tout peut se dire, n’importe quoi peut se dire et peut être accrédité de la même manière. Alors même que c’est faux.” (article du blog NPA 34). Christian Bourquin est bien, de ce point de vue et si l’on en croit ce que rapporte Montpellier Journal, le fils de son père…politique !

10 décembre : Frédéric Bort, l’ex-chef de cabinet de Frêche, est venu hier soir sur les plateaux de télévision (à l’émission en direct Ce soir ou jamais (1)) confirmer ses propos sur la nécessité du mensonge en politique (le passage du film, où l’on voit, entre autres, Frêche himself et Bourquin (2), écouter le fin stratège, a été proposé aux téléspectateurs).

Comme grisé par cette sortie de l’ombre noire du cabinet de son chef et puérilement ébloui par les lumières des plateaux de télévision, ce sidérant personnage débordant de frêchisme primaire (pléonasme!) et satisfait (idem), a défendu qu’il s’agissait là d’une manifestation…de vérité adressée aux électeurs ! Voilà bien la novlangue de cette caricature grotesque de la gauche : on vous ment et puisque le film vous montre qu’on est en train de justifier le mensonge…c’est qu’on dit vrai ! Que du mensonge-vérité en somme !

Les frêchistes, c’est clair, se shootent à l’oxymore pour se payer ainsi la tête des citoyens. Avec en prime l’occasion donnée, hier soir, à l’ultralibéral retraité de la politique, Alain Madelin, de se poser en modèle indigné de…vertu vraie ! La fonction première du frêchisme et du néofrêchisme (si, si, ça existe, on en reparlera!) c’est bien de permettre à la droite de se refaire, à tout petit frais, une virginité politique…

(1) on peut visionner cette émission pendant quelques jours en cliquant sur le lien suivant (se porter sur l’indice 21’42″” pour visionner ce dont nous parlons ici)

Ce soir ou jamais du 9 décembre

(2) Une autre scène du film projetée montre Bourquin reprochant à Bort d’avoir fait, devant les caméras, cet éloge du mensonge et ponctuant ses propos d’un incroyable “moi, je mens jamais (sic)“. Le sourire narquois de Frêche posé en arrière-plan, disait, mieux que tout, la … vérité de l’instant. Même chose pour la pitrerie qui s’en est suivie quand il a suggéré mentir … par défaut de mémoire… Ces politiques s’essayant au non-dit qui en dit long sans trop en dire… résument bien la médiocrité psychopolitique qui suinte de ce clan d’opportunistes.

Hélène Mandroux ment sur la ligne 4 de tramway de Montpellier (Montpellier Journal)

Huit extraits du film Le Président sur Georges Frêche (Montpellier Journal)

(1)

Christian Bourquin lors d’une manifestation procorrida…Saura-t-il, à l’heure de…vérité (!), toréer les tribunaux ?

(1) Photo :http://www.directe.cat/imatges/acn/450032.jpg

Sur les socialistes locaux :

Le TER à un euro en janvier 2011 : par la grâce de la Frêchie défraîchie … le train nous mène en bateau !

Un appartement de trois pièces au siège de la fédération PS de l’Hérault (Montpellier Journal)

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