Malheur aux vaincus

Tout ceux qui, à droite, rampaient devant Jacques Blanc au temps de sa gloire, s’en donnent à cœur joie après sa défaite à la Région.

Courageusement, ils le frappent depuis qu’il est à terre.
« Jacques Blanc est comme moi, notre avenir politique est plutôt derrière que devant » (J.P.Alduy, maire de Perpignan).
«Il n’est plus l’homme de la situation » affirme le maire de Nîmes, J.P.Fournier, pendant que Jeanjean (maire de Palavas) s’inquiète : « Je ne l’enterre pas, mais s’il va aux régionales de 2010, on peut faire un score très bas ».

A gauche ; ils vont à la soupe, à droite, ils vont à la curée.

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